comment poussent les bébés

Encore un petit truc qui va faire rire mes petits enfants.  Dans mon enfance, on nous disait que les garçons poussaient dans les choux et les petites filles arrivaient dans les roses. Je me souviens  aller de temps en temps dans le carré de choux et regarder si....... je n'ai jamais rien vu à mon grand désespoir.  L'éducation sexuelle n'était pas de mise, et j'ai appris a 10 ans comment on faisait les bébés en regardant ma voisine qui discutait avec maman vers le mur de la cour. De profil, je trouvais que cette voisine avait un gros ventre, cela m'avait intrigué. Après son départ je dis a maman " on dirait que Claudette va faire comme la vache  avec le veau".  Hé Ben voilà, j'avais deviné, donc il était temps pour elle de m'expliquer comment venaient les bébés. Notre éducation sexuelle se faisait   grace aux animaux de la ferme!!!   heureusement que ça a  bien changé.

mon arrière grand-mère

Je n'ose pas imaginer la tête d'un de mes petits enfants découvrant que sa grand-mère ou arrière grand-mère n'aplus qu'une dent. Et pourtant ,  c'était le cas de ma mémé Ya . Elle était  née le 25 octobre 1872 et je ne sais pas si à l'époque le dentiste existait ou si ses moyens ne lui permettaient pas de se faire soigner.  Je me souviens bien de mon papa qui lui coupait la salade dans son assiette a chaque repas. heureusement   le progrès dans tous les domaines médicaux ont beaucoup évolué pour notre santé , notre confort  et notre esthétique aussi . Mais a l'époque  avec mes yeux de petite fille je n'étais pas choquée du tout et je  l'aimais très fort.

en moto avec papa

il m'arrivait de temps en temps de partir  avec mon papa en moto le jeudi,  jour de congés chez mes grand-parents a foumoux ou je vis actuellement, pour leur rendre visite. Comme j'étais petite, mon père m'installait devant lui sur le réservoir. Et puis   un certain jour :  ,    il me dit :"maintenant  tu es grande,   tu vas monter sur la moto mais derrière moi." Et bien je n'étais pas fière du tout, je crois que je n'ai jamais autant serré mon  père les deux bras enlacés autour de sa taille surtout dans la descente après le bois.  Ma grand-mère Marie mettait en cachette de mon grand-père des gâteries pour ses petites filles dans les sacoches de la moto.