la veillée cchez les cousins du bourg

une fois par an, l'hiver de préférence, nous allions passer une veillée chez nos cousins Perrat du bourg de vauban. Je me souviens bien de ce moment  là car c'était tout un évènement comme si nous allions à la ville. Ce jour là, nous sortions de l'école et au lieu de rentrer à  la lande, nous restions chez nos cousins. Avant le souper et l'arrivée des parents, on allait avec ma cousine distribuer les journaux aux gens du village; ça parait anodin, mais pour nous petites filles c'était du changement dans notre petite vie. Les parents  avec les grand-mères arrivaient et on passait à table , je me souviens d'un excellent dessert aux pralines que notre cousine Germaine faisait  à chaque fois.  

en vacances àfoumoux

encore quelques petits souvenirs de mes vacances chez mes grand-parents.  Pas beauoup de jouets, pas de télévision à l'époque, il fallait donc s'occuper et avoir de l'imagination. Je me souviens donc avoir passé de grand moments dans le jardin  a observer une énorme foumillière. Ce va et vient des fourmis m'intriguait. certaines portaient des petits morceaux de bois, d'autres avec leurs oeufs, pour moi c'était tres passionnant.  Cette foumillière était tres haute et mon grand-père ne la détruisait jamais.  Je jouais aussi avec une petite dinette  de ma maman  qui était en fer , je revois les petites casseroles avec le manche en bois. Je n'aimais pas beaucoup ces petites vacances malgré la gentillesse de ma grand-mère, mon grand-père était tres sévère, donc j'étais contente de rentrer a la maison.

mes cousins de charlieu

autrefois, il existait un esprit de famille très important. Les distractions étant rares, on se réunissait souvent avec les cousins et cousines. Ce jour là, c'était nos cousins de charlieu photographe de métier qui étaient venus passer la journée a la lande. J'étais toujours très heureuse de les voir surtout mes deux cousins que j'adorais. Ils venaient toujours avec l'appareil de photo et voici donc un exemple pris dans la cours devant leur voiture une 203. C'était en 1954 après le départ de mon grand-père.