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  • A st christophe en calèche.

     

    Je reviens à mes vacances chez mes grand-parents maternels.Le jeudi, jour de marché aux bestiaux à st christophe,soit je partais avec ma grand-mère à pied au village à 3 kilomètres de foumoux. En arrivant elle rencontrait ses amies qui disaient  en me  voyant, " tiens voilà la petite Lucie", ça m'agaçait  énormément et je répondais " je ne m'appelle pas Lucie mais Eliane",la ressemblance était frappante je pense. Ce qui me déplaisait tant à l'époque me fait tant plaisir maintenant.   Ou alors, nous partions  avec mon grand-père  avec le cheval et la calèche. je me souviens j'étais assise devant le dos a la route  sur un petit banc. Mon grand-père allait sur le champ de foire et je me souviens des liasses de billets que les maquignons sortaient de leur porte-feuille.  Ils ont  d'ailleurs surnomé maintenant cet endroit " le mur d'argent". maman photo école.gif

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  • mes vacances a foumoux

    Je vais vous raconter quelques petite anecdotes de mes petites vacances  à foumoux chez mes grand-parents maternels. Aujourd'hui, je vous montre la maison comme elle était a l'époque   et la photo de parrain et marraine puisqu'on les appelait ainsi. ( Jean-Marie et Marie)MES GRAND-PARENTS.gif

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  • soirée cartouche

    Si je vous dis que les soirées " fabrication cartouche" font partie de mes bons souvenirs, vous allez sûrement trouver cela étrange. Et pourtant,  je m'en souviens comme si c'était aujourd'hui. les enfants participaient  ou donnaient un petit coup de main pour cette  cette fabrication avec bonheur et fierté. Aider Papa a faire ses cartouches car l'ouverture de la chasse approchait, c'était quelque chose.  Donc le soir après souper, il sortait tout le matériel , l'étui,  les plombs de plusieurs calibres, les petites dosettes avec un manche en bois, les cartons  et la poudre , ,et la machine à sertir accrochée sur le rebord de la table.  Si je me souviens bien, notre  petit boulot était de faire passer le matériel ou tourner la manivelle pour sertir  la cartouche une fois remplie de plomb, poudre et carton, travail de papa car ça ne rigole pas! il ne faut pas faire n'importe quoi.

     

    Après, il sortait le fusil et avec  le nettoyait avec une grande baguette  munie de diférents embouts   ( durs ou doux ) jusqu'à ce qu'il soit impeccable prêt à l'emploi.  Quant à l'ami fidèle du chasseur, le chien  était toujours très excité car il sentait que quelque chose se passait et que le grand jour arrivait  . La cartouchière remplie, le fusil prêt a l'emploi on attendait l'ouverture  et surtout   le retour   heureux du chasseur , bredouille parfois et là c'était moins rigolo.